Mon seul est unique amour,
Que tu me manque tous les jours que je passe sans toi à mes cote. Mon cœur langui de te retrouve à nouveau à mes cote. Depuis le jour que je t’ai revu à Sao-Paolo, ta ville natale, je ne cessé de pense à nos jour ensemble, des jour heureux plain de bonheur. Nos promenades sur l’avenue Paulista, le parc de Ibirapuera est tant d’autres lieu dans cette si spectaculaire mégalopoles.
Tes baisers du soir, les réveille le matin à tes cote, quel bonheur ce fut.
Qui aurais pu croire un jour qu’an allants a Sevillia un jour, ce serait toute mon existence que changerai. Un simple voyage ou l’amour attendrai pour l’autre bout du monde. Depuis la première fois que tu es venu me parlez dans mon éternelle solitude, avec tes yeux comme des perles noir, toi jeune fille belle comme une fleur de printemps mon cœur s’est emporté. Mon séjour fut de courte durée, mais notre histoire ne fut pas terminée. Nous continuâmes a nous aimer, pare carte postale et lettres enflammée, jusque au jour au nous retrouveront.
O, mon tendre amour, que je t’aimes toujours, que je t’aimes tous les jour. Je compte les jour jusque au moment de ton retour.
Alors en attendent d’être de nouveau dans tes bras, je t’embrasse très fort avec toute la passion du monde.
Ton éternelle bien aime.
F.H. de Morialmé
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Fabrice Hubert tem 43 anos, nasceu em Bruxelas e é um viajante profissional.
VÍCIO VELHO 